Archives de catégorie : Economie locale

Vannes à 2:29 de Paris en mai 2017

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« 2017, la Bretagne accélère » C’est le slogan du club TGV qui s’est créé à Rennes, et plus largement en Ille-et-Vilaine, pour anticiper l’arrivée de la ligne à grande vitesse (LGV). Le 15 mai 2017, Rennes sera à seulement 1 h 27 de Paris. « Brest et Quimper seront à 3 h 30 », s’empresse d’ajouter Gérard Lahellec, le vice-président du conseil régional, pour montrer que ce vaste chantier profite à l’ensemble de la Bretagne, y compris à la pointe bretonne.

Dans les locaux de chambre de commerce et d’industrie, à Rennes, ils sont nombreux à débattre du sujet. Responsables de la SNCF, élus, chefs d’entreprise, acteurs touristiques, etc. Tous ont en commun d’être embarqués dans le même train. Et d’attendre beaucoup de la LGV. En Ille-et-Vilaine, Rennes ne sera pas la seule ville impactée. Redon espère un effet de levier, tout comme Saint-Malo. « Aussi bien pour le développement économique, que pour le tourisme », décrit Patrick Charpy, adjoint au maire de la cité corsaire, accompagné de Serge Raulic, un acteur incontournable, fondateur des Thermes marins. Continuer la lecture de Vannes à 2:29 de Paris en mai 2017

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Bar : l’Unan prend position

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Bar : le règlement instaurant le moratoire est paru

Voilà qui va mettre fin à la « zone grise » sur le moratoire de la pêche du bar (stock nord), et ses différences d’interprétation : le règlement fixant les nouvelles règles est paru au Journal officiel de l’Union européenne, ce jeudi 28 janvier.

Établissant les possibilités de pêche pour 2016 (Tac et quotas) négociées en conseil des ministres mi-décembre, ce règlement détaille dans son article 10 les mesures relatives à la pêche du bar.

Le moratoire s’applique ainsi du 1er janvier au 30 juin pour tous métiers, sauf ceux utilisant hameçons, palangres et filets maillants fixes ne devant arrêter sa pêche qu’en février et mars.

Hors de ces périodes ces derniers sont soumis à une limite de 1,3 tonne par mois contre une tonne pour les autres métiers.

Une dérogation a été introduite : durant le moratoire, les chalutiers de fond et senneurs peuvent détenir du bar jusqu’à 1 % de leurs captures à bord pour tenir compte de leurs captures accessoires.

La pêche récréative peut s’adonner au pêcher-relâcher de bar durant le moratoire, puis est limitée à un bar par jour par pêcheur.

Cette parution intervient alors que cette nuit même, la poursuite des débarquements et ventes de bar par des chalutiers a suscité la colère des petits métiers.

Les chalutiers estimaient être dans leur droit tant que l’arrêté n’était pas paru, et les petits métiers s’en remettaient à l’interprétation donnée par le ministère, à savoir que le moratoire était applicable.

La situation est claire désormais.

Source Le Marin

N.B. L’UNAN ne se satisfait pas du traitement fait à la pêche plaisance et poursuivra son action

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Unan

Face à une ressource qu’elle estime en baisse, l’Unan  du Morbihan se dit favorable à la mise en place de mesures restrictives pour la pêche au bar. En premier lieu, les pêcheurs plaisanciers souhaitent l’interdiction de la pêche pendant la période de reproduction.

Le Télégramme 17 avril 2016

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