Lydie BASTIEN, la ‘diabolique de Caluire’, maîtresse de René HARDY c’est très probablement elle qui a livré Jean MOULIN à Klaus BARBIE. A lire dans le livre :
A la faveur d’une somme savante sans précédent due à l’érudit Christophe Stener, retour en grâce d’une des figures les plus sulfureuses et transgressives de l’histoire du surréalisme : l’aventurier-poète Ernest de Gengenbach.
Depuis sa mort en 1979, ses archives attendaient leur heure à la Bibliothèque de Saint-Dié (Vosges). Enfin Christophe Stener vint ! Érudit enquêteur spécialiste du mythe de Judas, il a ouvert la boîte de Pandore et pu reconstituer ainsi, en 4 forts volumes bio-bibliographiques, la saga aventureuse et sulfureuse d’Ernest de Gengenbach (1903-1979), compagnon de route (et de déroute) du surréalisme, histrion dont la vie ne fut qu’un perpétuel tangage entre le ciel et l’enfer, Rome et le Pandémonium, la mystique chrétienne et le vertige satanique. Il est l’invité tout spécial du “petit Noël noir” de Mauvais Genres.
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