Abolir les frontières

Dans la société d’aujourd’hui, où le pardon est si rare, la miséricorde est toujours plus importante.

22 janvier 2016

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Abolir les frontières

Nous sommes tous devenus par notre baptême des prophètes de la Bonne Nouvelle du Christ. Avec lui, par lui, il nous revient, à tous et à toutes d’être au milieu de nos contemporains la voix et le visage de l’AMOUR. Amour fraternel dans nos communautés chrétiennes, dans notre île, dans nos villages. Mais aussi amour sans frontière pour tout homme et toute femme rencontrés.

                      « Là où il y a des chrétiens, quiconque doit pouvoir trouver une oasis de miséricorde », nous encourage le pape François en cette année jubilaire.

Chacun est prophète quand il fait un geste d’accueil au lieu d’un mouvement d’énervement spontané ; lorsqu’il rend service en sachant qu’il n’y aura pas de réciproque ; lorsqu’il dit une parole de vérité qui coute ; lorsqu’il pose à contrecourant un geste de justice. Oui, soyons heureux d’être envoyés comme des prophètes de l’amour là où nous sommes, dans la famille, dans notre île, dans nos villages, au travail, sur un lit d’hôpital ou dans une maison de retraite.

                           « L’amour prend patience, l’amour rend service…. L’amour ne passera jamais ».

Extrait de l’homélie du Père Lucas du dimanche 31 janvier 2016

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