En France, par exemple, la contribution budgétaire nette des personnes nées à l’étranger est de 1,02% du PIB, donc légèrement excédentaire, contre une moyenne de 1,56% sur l’ensemble des pays. “Ce qui focalise le débat public, notamment en France, c’est le coût que peut représenter l’immigration en termes de dépenses sociales, de santé, etc.” analyse Jean-Christophe Dumont, chef de la division Migrations de l’OCDE, interrogé par l’AFP.
“On montre que cette question ne devrait pas nous obséder, car quand on fait le compte, on observe que la contribution est positive jusqu’à la prise en compte des dépenses militaires et de la dette publique.”Jean-Christophe Dumont, spécialiste des migrations à l’OCDE
interrogé par l’AFP