Itw de Christophe Stener par Le Télégramme

Le roman, un « bol d’air »

Christophe Stener mène en parallèle une écriture liée à des recherches et des escapades romanesques (photo d'archive Le Télégramme).

Christophe Stener mène en parallèle une écriture liée à des recherches et des escapades romanesques 

Installé à l’île d’Arz depuis quelques années, l’énarque Christophe Stener a un parcours atypique, allant du ministère des Finances au monde de l’informatique. Il publie un roman d’actualité.

Vous avez déjà publié de nombreux ouvrages, certains professionnels, pourquoi choisir l’auto-édition pour ce roman ?
Christophe Stener : envoyer un ouvrage à des éditeurs, c’est beaucoup de temps et d’argent alors que finalement seuls les plus connus sont mis en avant. Tant qu’à devoir faire moi-même la promotion de mon livre, autant le faire moi-même tout court, de A à Z !

Le roman est un genre que vous affectionnez ?
Je suis souvent engagé dans des travaux plus austères. Actuellement, je prépare un ouvrage de théologie sur le pêché originel. Ce roman, cette longue nouvelle, est pour moi un dérivatif. Je suis parti d’un article de presse sur la prostitution estudiante pour construire cette intrigue.

Vous y mettez aussi d’autres thèmes actualités qui en font un roman engagé… 
J’ai écrit ce à quoi je crois. Dans ce « conte de Noël », je voulais quelques messages humanistes sur les migrants, une cause que je défends, mais aussi sur le pardon ou sur la vie sentimentale après la soixantaine.

Ce roman a un prix modique. C’est une volonté ?
Oui, je le considère comme un roman de gare. Je voulais donc qu’il soit moins cher qu’un paquet de cigarettes. Le prix est symbolique, pour couvrir mes frais. En revanche, pour ceux qui veulent aller plus loin, j’y ai inclus des notes bibliographiques.

Pratique 
« Vendanges tardives 1956 » de Christophe Stener (5 €). Disponible sur les réseaux Fnac et Amazon.

 

Le Télégramme

Extrait en ligne ici :

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Ouvrage à feuilleter également sur :

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