« À Vannes, on trouve des biens à vendre mais le téléphone ne sonne pas. Là où on avait avant 30 à 40 coups de fil pour une offre, on n’en compte plus que trois ou quatre, analyse Hervé Ferreira, cogérant de l’agence Arthurimmo à Vannes. Aujourd’hui, ce sont les acquéreurs qui ont la main. On peut dire que les prix se maintiennent mais les ventes diminuent fortement » (*).