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Street art covid

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La peste d’Albert Camus, une lecture qui éclaire le confinement en temps de pandémie

https://www.youtube.com/watch?v=rHjlvUKli40  

Quelques citations pour vous donner envie de le(re) lire :

“Est-ce que M. Richard pouvait prendre la responsabilité d’affirmer que l’épidémie s’arrêter sans mesure de prophylaxie rigoureuse” p.52

Pendant toute la journée, le docteur sentit croître le petit vertige qui le prenait chaque fois qu’il pensait à la peste. Finalement, il reconnut qu’il avait peur. Il entra deux fois dans des cafés plein de monde. Lui aussi, comme Cottard, sentait un besoin de chaleur humaine. Rieux trouvait cela stupide… p. 58″

“Ainsi, la première chose que la peste apporta à nos concitoyens fut l’exil” p. 71

Leur première réaction, par exemple, fur d’incriminer l’administration. La réponse du préfet en présence des critiques dont la presse se faisait l’écho (“Ne pourrrait-on envisager un assouplissement des mesures envisagées ?” fut assez imprévue. Jusqu’ici, ni les journaux ni l’agence Ransdoc n’avaient reçu communication officielle des statistiques de la maladie. Le préfet les communiqua, jour après jour, à l’agence, en la priant d’en faire une annonce hebdomadaire” p. 76-77

“Il peut y avoir de la honte à être heureux tout seu”

“A Oran, comme ailleurs, faute de temps et de réflexion, on est bien obligé de s’aimer sans le savoir”

“Beaucoup cependant espéraient toujours que l’épidémie allait s’arrêter et qu’ils seraient épargnés avec leur famille. En conséquence, ils ne se sentaient encore obligés à rien”

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