Je sais et je comprends votre désir de retrouver dès que possible vos plages et vos promenades favorites. Je vais pourtant vous demander de patienter encore quelques jours.
L’Ile d’Arz, comme d’autres petites îles du Morbihan, ne demandera pas de dérogation à l’arrêté gouvernemental interdisant jusqu’au 2 juin l’accès aux plages et aux sentiers côtiers.
J’ai pris cette décision difficile pour des raisons purement sanitaires : ouvrir les plages et les sentiers côtiers aurait pour immédiate conséquence de provoquer l’augmentation brutale de la cadence des bateaux et un afflux de touristes que nous n’aurons aucun moyen de maîtriser. Alors que s’annonce le long week-end de l’Ascension, c’est un risque que je ne veux pas courir.
Aujourd’hui ma préoccupation est la réussite du déconfinement maintenant afin de mettre toutes les chances de notre côté pour avoir l’été le plus réussi possible et pouvoir accueillir nos visiteurs avec sérénité.
Aujourd’hui ma priorité absolue est d’éviter la circulation du virus sur l’île, et de protéger la santé de tous.
Grâce à votre compréhension et à votre esprit citoyen, nous pourrons très bientôt, je l’espère, retrouver nos plages et nos sentiers côtiers.
Relâchement lié au déconfinement : le « coup de gueule » du directeur de l’hôpital de Lorient
À quelques heures du déconfinement, le directeur du Groupe hospitalier Bretagne Sud fait part de son profond agacement. Il y a trop de monde dans les rues, s’agace-t-il. Il met en garde contre une deuxième vague. « J-2 avant le déconfinement mais J-0 pour le relâchement. Il suffit d’aller en ville. Ce sont sans doute les mêmes qui ensuite nous expliqueront que le gouvernement a mal géré la situation. Et qui peut-être applaudissent à 20 h », s’agace Thierry Gamond-Rius, le directeur du Groupe hospitalier Bretagne Sud (Lorient, Quimperlé, Port-Louis/Riantec, Le Faouët). https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/deconfinement-le-coup-de-gueule-du-directeur-de-l-hopital-de-lorient-6830203
70 morts en 24 heures en France, plus faible bilan quotidien depuis le confinement
L’épidémie de coronavirus a causé la mort de 70 personnes sur les dernières 24 heures en France, soit le plus faible bilan quotidien depuis le début du confinement le 17 mars, a indiqué dimanche la direction générale de la Santé, à la veille du début du déconfinement de la population.Le bilan total depuis le 1er mars s’élève désormais à au moins 26 380 décès, alors que la pression sur les services d’urgence hospitaliers se réduit toujours, avec 36 malades en moins, pour un total de 2 776 cas graves en réanimation, selon le bilan quotidien de la DGS.
Alors que la loi sur la prolongation de l’état d’urgence sanitaire devait être promulguée dimanche soir, le conseil constitutionnel n’a pas rendu son avis à temps. Ce qui repousse d’une journée l’entrée en vigueur des mesures phare du déconfinement.
“A quand les actes ? ” interpellent les beautiful people qui auraient du profiter du confinement pour suivre des cours de rattrapage de français dans un articulet publié pompeusement par Le Monde
Lundi 11 mai, nous entrons dans une nouvelle phase de la pandémie, une sortie progressive du confinement. C’est une phase difficile et délicate qui nous responsabilise tous. Sa réussite dépendra de notre comportement. Plus que jamais, il est essentiel de respecter scrupuleusement toutes les consignes sanitaires.
C’est pourquoi la mairie a décidé de distribuer des masques à tous ceux qui n’en sont pas dotés.
Cette distribution aura lieu sous le préau dans la cour de l’école :
Le lundi 11 mai de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 16h00
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