L’affaire DREYFUS vit l’affrontement violent, par presse interposée, des soutiens de l’Eglise, majoritairement anti-dreyfusards, et de la presse de gauche, incarnée par l’Aurore. La supposée judéité du capitaine DREYFUS et ses soutiens juifs, notamment Joseph REINACH, ainsi que l’activisme de la Franc-maçonnerie anticléricale déchaina la haine en images du Pèlerin sous le trait de A. LEMOT.
Le détournement des symboles chrétiens à des fins de propagande tant par les anti que par les dreyfusards est présenté dans notre ouvrage
Dreyfus, le Judas français. Une métaphore religieuse
Le capitaine d’artillerie Alfred Dreyfus, de confession juive, est arrêté le 15 octobre 1894, victime d’une machination sordide l’accusant à tort de trahison au profit de l’Allemagne. Alors qu’il est innocent, il est dégradé sur le front des troupes à l’École militaire, déporté durant quatre ans au terrible bagne de l’île du Diable, en Guyane, avant de subir un ultime procès truqué devant le conseil de guerre, en 1899 à Rennes. Il est jugé coupable de « haute trahison avec circonstances atténuantes » et condamné à dix ans de prison, avant d’être gracié dans la foulée par le président de la République Émile Loubet.
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